La formation des agriculteurs dans l’utilisation des machines et techniques agricoles modernes…un défi à relever.

La modernisation de l’agriculture est faite grâce au développement des machines agricoles. La démocratisation de l’usage des machines agricoles a remplacé aujourd’hui une bonne partie des travaux manuels de la terres effectues par les agriculteurs.

Les machines agricoles ont révolutionné l’agriculture et rendu plus facile le travail de la terre au profit des producteurs qui sont longtemps privés des équipements et matériaux agricoles pour accéder à un niveau de qualification plus moderne dans le secteur de l’agriculture.

A cet effet, le gouvernement a mis en place des dispositifs capables d’accompagner les producteurs dans l’augmentation de la production dans le cadre de la mise en place de certains prorammes comme celui de l’offensive pour la mécanisation intégrale de l’agriculture en Afrique.

Autrement dit,  la mécanisation agricole est une priorité pour l’État sénégalais. Et les nouvelles perspectives de l’agriculture concernant la mécanisation  agricole devraient permettre au gouvernement de viser sur la formation des acteurs agricoles vers la diversité de l’agriculture .

Cependant, la formation des agriculteurs dans l’utilisation des machines et techniques agricoles modernes  reste un problème dans la mécanisation de l’agriculture sénégalais.  Parce que la maîtrise et l’entretien des machines agricoles impliquent des savoir faire diversifiés des acteurs. De cet état de fait, l’Etat devrait promouvoir la formation des agriculteurs dans l’usage des machines dans différents sites agricoles afin de développer les compétences et les capacités des producteurs dans ce domaine.

Ce qui fait dire qu’il y a un faible nombre de techniciens qualifiés en la matière. D’ailleurs, il faudrait que les coopératives agricoles mettent leur main à la patte afin de  placer des mesures visant à aider les travailleurs de la terre à accéder aux services de mécanisation, selon le degrés de partenariat entre les acteurs et l’État voire les organisations non gouvernementales qui financent l’agriculture.

Fatou Mballé CISSE.